Ce deuxième quinquennat devra être celui de la transformation structurelle de notre système de santé et de l’organisation des soins. Le diagnostic est posé depuis plus de 5 ans déjà. Les solutions sont connues, le SML n’a cessé d’adresser des propositions dans ce sens. Le futur gouvernement doit s’en saisir. A présent, il faut agir sans perdre de temps. En clair, un changement de méthode est nécessaire si le nouveau futur gouvernement veut réussir. Cela passe par la restauration de la confiance avec les médecins libéraux, des financements et une nouvelle convention médicale.