On dirait bien que cette période est révolue. La loi du 2 mars dernier renforçant le droit à l’avortement a autorisé la réalisation des IVG instrumentales par les sages-femmes tout en maintenant une phase expérimentale. Dix-huit hôpitaux publics se sont portés candidats pour expérimenter cette mesure. Le SML, qui s’était opposé à ce dispositif, rappelant que les sages-femmes n’étaient pas des chirurgiens, alerte à nouveau contre les risques encourus par les patientes. En cas d’accident, prévient le SML, le Gouvernement devra assumer jusqu’au bout ses responsabilités et rendre des comptes.