Ce scrutin régional a, en réalité, une portée nationale car les prochaines politiques de santé qui seront amenées à être mises en œuvre au niveau des régions seront conditionnées par le poids des acteurs en capacité de négocier avec le gouvernement et les agences régionales de santé. Aussi, dans un contexte où beaucoup de représentants des médecins libéraux sont devenus des courtisans du pouvoir, il faut éviter que la profession ne tombe entre de mauvaises mains, étatisées, anti-secteur 2, anti-spé et anti-MEP. C’est donc un programme 100 % libéral que le président du SML a décliné devant les journalistes. Celui-ci a plusieurs ambitions..