Communiqués de presse du SML
Fervent défenseur de l’exercice libéral, le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) entend encourager des coopérations interprofessionnelles volontaires et s’oppose aux délégations de tâches mises en place pour de simples raisons économiques.
Fervent défenseur de l’exercice libéral, le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) conteste le bienfondé des propositions du Conseil d’Analyse Economique (CAE) qui préconise d’instaurer la gratuité à l’hôpital et de mettre en place des franchises en ville.
L'Agence de sécurité sanitaire et du médicament (ANSM) a publié le 14 mars 2014 une recommandation temporaire d'utilisation (RTU) pour le baclofène dans l'addiction à l'alcool ou en vue de la réduction majeure d'une consommation excessive d'alcool. C'est une nouvelle possibilité thérapeutique dont l'utilisation est ainsi reconnue et facilitée, à côté de la prise en charge psychologique et psychothérapique qui demeure le plus souvent nécessaire pour les patients atteints de ces troubles.
Après le remaniement ministériel et la confirmation de Marsol Touraine au ministère de la Santé, le Syndicat des médecins libéraux entend rappeler ses priorités : la promotion de la prévention et la défense d’une stratégie libérale de proximité. Deux objectifs qui passent par la voie de l’ambulatoire et nécessitent de rompre avec l’hospitalocentrisme prôné par le précédent gouvernement.
Le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) réaffirme son opposition totale et sans ambiguïté à la généralisation du tiers payant. Opposé à tout consumérisme médical, le SML prône la responsabilisation des patients et des professionnels de santé et souhaite une simplification des procédures du tiers payant social.
Paris le 13 mars 2014 – Le Syndicat des médecins libéraux (SML) a obtenu que la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) des Hauts-de-Seine continue à gérer les feuilles de soins papier, dans les situations prévues par la convention. Un retour à la raison de la caisse du à l’engagement local du SML.
Le SML entend préserver la permanence des soins libérale des dangers qui la menacent, notamment par une centralisation hospitalière sous la coupe des SAMU. Contrairement aux idées reçues et colportées, la réponse actuelle des libéraux aux besoins de la population est globalement et majoritairement satisfaisante. La réorganisation de la PDS obtenue à la suite du combat syndical, notamment du SML, en 2002 a permis une meilleure efficience de l’existant et un volontariat bénéfique.
Le Syndicat des Médecins Libéraux se réjouit de la décision de la Cour d'appel inversant le jugement du Conseil de la Concurrence qui, en avril 2008 avait condamné le SML à une lourde amende (135 000 €) pour « ententes entre ses adhérents afin de provoquer une hausse du prix des consultations ». Le Conseil de la Concurrence avait considéré, sur la base de deux communiqués mal interprétés, que le SML avait appelé les médecins à appliquer le DE de manière concertée.
Le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) réclame à nouveau un traitement équitable pour tous les médecins. Le SML demande ainsi un élargissement des critères d'accès à la spécialité de médecine générale et la création d’une nouvelle spécialité d'expertise spécifique avec options.
Fervent défenseur de l’exercice libéral,le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) a toujours mis en avant la responsabilisation des patients et des professionnels de santé. Refusant tout consumérisme médical, le SML s’oppose à la généralisation du tiers payant et réclame de toute urgence un choc de revalorisation.
