Communiqués de presse du SML

Les candidats titulaires sortants soutenus par le SML ont tous été réélus lors des élections au conseil départemental de l’Ordre de l’Essonne, dimanche 11 décembre 2011, élections qui ont enregistré un record du nombre de votants.


Le SML fête ses trente ans aujourd’hui. L’âge de la maturité. Avec 8 200 adhérents, le SML est devenu le syndicat incontournable de la médecine libérale.
Nous devons ce succès au Dr Dinorino Cabrera qui a fondé le SML le 8 décembre 1981 et l’a présidé jusqu’en 2008.
Aujourd’hui, le SML continue à se battre pour l’avenir de la médecine libérale. Afin qu’elle demeure le pilier central du système de soins.
Le SML continuera à travailler pour la faire évoluer  tout en préservant son essence.


Le SML se félicite de l’annonce faite par le Ministre de la santé lors de son intervention au Congrès du SML de Toulouse :


La parution du décret ASV traduit bien le combat mené pour le sauvetage de ce régime de retraite par tous les syndicats vraiment responsables, mais aussi le respect de la parole du ministre qui avait bien entendu le préalable du SML sur la résolution du problème avant toute négociation conventionnelle.


Le SML déplore le vote de l’Assemblée nationale dans le cadre du PLFSS 2012 et regrette le manque de courage politique de la majorité actuelle et du Gouvernement face aux menaces non déguisées de la Mutualité Française pour renier sa propre signature d’un accord conventionnel.


Le SML refuse, contrairement au gouvernement et aux députés, le diktat de la mutualité.
La proposition de loi présentée au vote aujourd’hui est de nature à modifier profondément les accords conventionnels de juillet 2011.

Le SML a bien eu connaissance de l’avis du Conseil d’Etat quant aux textes des décrets DPC annoncés. Cet avis positif sur la forme était attendu.


L’encre de la signature conventionnelle à peine sèche, l’UNCAM revient sur les décisions actées en refusant de les mettre en application dans les commissions ad hoc, comme cela était prévu par le texte.


À quelques jours de la fin du mois d’octobre, le SML constate amèrement que le dossier du « secteur optionnel » n’a pas avancé, l’UNOCAM refusant toujours d’honorer sa signature.
Le Gouvernement s’était pourtant engagé fermement à faire respecter cet accord conventionnel avant la fin octobre déclarant que le secteur optionnel n’était pas « une option » mais une obligation vitale pour la convention.


Le SML constate avec stupeur que la Mutualité est prête à tout pour ne pas honorer ses différentes et successives signatures pour la création du secteur optionnel.


Retourner en haut