Communiqués de presse du SML

Le SML se félicite de l’élection du docteur Jean François GIORLA à la présidence de l’URPS PACA. La composition du bureau reflète par ailleurs la cohésion majoritaire du SML et de la CSMF et leur détermination à faire appliquer la volonté d’une majorité de médecins libéraux qui leur a fait confiance lors des élections aux URPS.


La CSMF et le SML, syndicats majoritaires, ont écrit une lettre commune au Directeur Général de l’UNCAM en réponse au courrier que ce dernier leur a adressé au sujet des négociations conventionnelles.


Le SML se félicite de l’élection du docteur Jean François GIORLA à la présidence de l’URPS PACA. La composition du bureau reflète par ailleurs la cohésion majoritaire du SML et de la CSMF et leur détermination à faire appliquer la volonté d’une majorité de médecins libéraux qui leur a fait confiance lors des élections aux URPS.
Ceux qui espéraient un autre scénario doivent être déçus.
Le SML rappelle toute l’importance qu’il accorde au rôle que vont jouer les URPS dans l’organisation de notre système de soins.

Le SML, devant l’échec de la maîtrise de stage (seulement 30% des étudiants formés à l’exercice libérale de la médecine), propose une nouvelle approche pour la formation des futures générations de médecins libéraux : « l’Internat libéral »


La CSMF et le SML, qui représentent près de 60% des médecins libéraux, toutes spécialités confondues, ont quitté une nouvelle fois la table des discussions conventionnelles.            


Les négociations conventionnelles ont donc démarré le 7 avril 2011.


Le Président du SML, le Docteur Christian Jeambrun, participait hier à la table ronde « Les directeurs d’EHPAD face aux médecins : alliés ou concurrents ? »


Ce matin, à l’occasion de l’ouverture des négociations conventionnelles, le SML a obtenu la création d’un groupe thématique « Médecins à Expertise Particulière ».


Depuis de nombreux mois, le SML s’insurge contre le glissement progressif et furtif de notre système de protection sociale vers un double objectif : la tentative de mise sous tutelle par l’État de l’assurance maladie et la possibilité offerte aux financiers, moins scrupuleux de la santé des Français mais plus avides de profit, de s’approprier le système libéral de santé.


Le SML dénonce depuis de longs mois les tentatives de prise en main de l’offre libérale de soins.


Retourner en haut