Communiqués de presse du SML

Le SML apprend avec une grande inquiétude que les promesses, pourtant n’engageant aucunes dépenses supplémentaires pour la collectivité, faites seulement dans le but de corriger les aspects antilibéraux « gratuits » de la loi HPST, viennent à nouveau de se heurter à l’entêtement furieux de certains parlementaires de l’Assemblée Nationale, après celui de leurs collègues centristes du Sénat : les médecins devront déclarer leurs absences aux Directeurs des ARS !


Le SML a fait depuis plusieurs années le constat du désintérêt progressif pour l’installation en libéral des jeunes diplômés mais aussi du découragement des anciens qui voient leur outil de travail  sans valeur, à l’issue d’une vie consacrée à leur profession.


Le combat du SML pour préserver une formation continue de qualité a payé.


Les élections aux URPS ont clairement montré la volonté majoritaire des professionnels de santé libéraux du rejet de la Loi HPST. Devant ce résultat et à l’occasion du remaniement ministériel, on nous avait promis une « révolution » de cette Loi, mouvement confié au Sénateur J.P. Fourcade, et les syndicats représentatifs y ont cru.


Malgré les déclarations rassurantes du ministre, le SML prend acte du maintien de la date butoir au premier avril concernant l’obligation pour les médecins libéraux traitants de signer un contrat « d’asservissement » aux administrations des EHPAD et aux grands groupes financiers qui les soutiennent.


Le SML, syndicat représentatif et responsable, ne prendra pas les patients en otage à propos de la télétransmission.


Le SML soutient le combat des angiologues, devenus entretemps médecins vasculaires, depuis de nombreuses années, en synergie avec leurs représentants professionnels.


Malgré l’opposition quasi unanime des syndicats des professionnels de santé libéraux, le décret concernant l’activité de ces professionnels en EHPAD est paru le 30 décembre dernier, ultime vestige kolkhozien des services du ministère de la santé avant le remaniement.


Le Syndicat des médecins libéraux découvre avec surprise la création d’un Conseil national de l’urgence hospitalière auprès de la Ministre de la Santé.


Le Syndicat des médecins libéraux entend dénoncer les difficultés à la limite de la discrimination que les médecins généralistes à exercice particulier (MEP) rencontrent dans le cadre de la procédure de spécialisation en médecine générale.


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