Dans deux décisions, le Conseil d’État valide le passage de trois à onze vaccins obligatoires et entérine le refus de la ministre de la Santé d’imposer à l’industrie pharmaceutique de ne pas utiliser les adjuvants contenant des sels d’aluminium.
La juridiction administrative met en avant la balance bénéfice-risque. Elle précise « qu’aucun lien de causalité n’a pu être établi, à ce jour, entre les sels d’aluminium présents dans huit vaccins obligatoires et les maladies auto-immunes ou l’autisme ».