« Parler en pourcentage d’évolution de l’Ondam était déjà un non-sens, du moins une facilité, cela ne veut plus rien dire avec l’impact financier de la crise sanitaire », a déclaré Olivier Véran. Sur ce point, le SML ne peut donner tort au ministre. Il est grand temps d’ailleurs de construire autrement cet objectif national des dépenses d’assurance maladie. La crise du coronavirus a mis en évidence qu’il était urgent de le bâtir au regard des besoins de santé et non au regard de critères comptables.