Une certitude, elle ne sera pas rendue obligatoire. Un espoir : la vaccination pourra débuter « vraisemblablement dès fin décembre début janvier sous réserve des validations par les autorités sanitaires ». Un choix : cette vaccination concernera en premier « les personnes les plus fragiles et donc les plus âgées », elle sera étendue progressivement au plus grand nombre (la HAS présentera prochainement ses recommandations). Une stratégie : elle repose sur plusieurs vaccins. « Certains seront disponibles dès fin décembre début janvier, une seconde génération arrivera au printemps ». La priorité a été de « sécuriser le nombre de doses », ce qui a « été fait avec l’Union européenne et la Commission européenne en achetant auprès des producteurs et en nous mettant en capacité de produire au maximum en Europe », assure Emmanuel Macron.
Un comité scientifique sera chargé du suivi de la vaccination et un « collectif de citoyens sera aussi mis en place pour associer plus largement la population » et sans doute persuader les gens à se faire vacciner.