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Face aux propositions coercitives multiples, les représentants des médecins réaffirment leur ferme opposition à toute forme de régulation ou de contrainte à l’installation.
La mise en place d’un service sanitaire obligatoire pour les jeunes médecins évoqué par Madame DARRIEUSSECQ, ministre de la Santé et de l’Accès aux Soins au micro de France Info, la régulation à l’installation prônée dans la nouvelle proposition de loi transpartisane du député Guillaume GAROT, ainsi que dans le rapport sur les inégalités territoriales d’accès aux soins du sénateur Bruno ROJOUAN ne résoudront en rien les problématiques d’accès aux soins.
Dans un contexte de pénurie numérique nationale de médecins, ces mesures, déjà prouvées inefficaces à l’étranger, ne répondent pas aux véritables causes des inégalités d’accès aux soins sur le territoire et se révéleront contre-productives pour le système de santé. Elles détourneront les jeunes médecins vers d’autres modes d’exercice, voire les inciteront à quitter le territoire, ou l’exercice de leur profession.
La coercition n’a pas fonctionné au Canada mais les politiciens français font encore plus fort ! À peine nommée, notre nouvelle ministre veut finir d’écrouler la médecine libérale en instituant un service obligatoire !
La LFSS 2025 vient compromettre la confiance que nous avons accordée en signant la convention.
Le SML félicite Mme le Dr Darrieussecq pour sa nomination au ministère de la santé et de l’accès aux soins.
Le SML prend note de l’arrivée à Matignon d’un nouveau Premier Ministre, Monsieur Michel Barnier et espère que ce dernier fera montre de clairvoyance en reconnaissant les atouts, le potentiel de développement économique, et l’implication territoriale permanente de la médecine libérale française.
Le nombre d'agressions envers les médecins et, plus largement, envers les professionnels de santé, en France a atteint un niveau alarmant, mettant en péril non seulement leur sécurité, mais aussi la qualité des soins prodigués aux patients.
L’Assemblée Générale du SML réunie ce jour pour s’exprimer sur la dernière version proposée par l’Assurance Maladie s’est prononcée pour entrer dans la convention afin de ne pas la voir disparaître au détriment des patients.
Le SML annonce qu’il a créé l’Union de la Médecine Esthétique, syndicat polycatégoriel visant à défendre une formation initiale et continue en médecine esthétique indépendante des laboratoires, industries et établissements du secteur.
Le SML a reçu un courrier pour l’inciter à reprendre les négociations conventionnelles.
