Communiqués de presse du SML

Face à un pouvoir politique qui nous impose depuis des années un financement insuffisant de nos activités libérales ET publiques, face à une inflation non maitrisée et face à un endettement historique, revenons-en aux fondamentaux développés par un économiste bien connu, Mr Raymond Barre : Ouvrons le secteur 2 à TOUS !

Après avoir mené la fronde contre la proposition de Loi de Mr le Député Valletoux qui prétendait (entre autres...) rétablir l'obligation des gardes pour les médecins, le SML considère la nomination de Mr Valletoux comme une gifle lancée aux médecins !

Si la « taxe lapin » est largement attendue par le SML, encore faudrait-il que les médecins en soient les bénéficiaires ! Les rendez-vous non honorés retardent la prise en charge de patients qui auraient pu prendre ces créneaux, et constituent une perte pour les médecins. Si nous étions avertis suffisamment à l’avance nous pourrions réattribuer ces rendez-vous, y compris aux soins non programmés !

Avec 26,50 euros, même avec les forfaits, il est impossible de payer des murs, des secrétaires et des médecins : les médecins libéraux le savent !

L’ensemble des syndicats représentatifs des médecins libéraux, des étudiants et internes en médecine, condamne fermement la fresque antisémite sur un mur de l’hôpital BICHAT.

Sur la chaîne Public Sénat, Mr Valletoux a accusé les syndicats médicaux d’être à l’origine « d’une inégalité de répartition des médecins sur le territoire » tout en reconnaissant « un problème démographique ».

Le SML a pris note de la lettre de cadrage des ministres Aurélien Rousseau et Agnès Firmin le Bodo au directeur général Thomas Fatôme et salue la volonté ministérielle de favoriser de véritables négociations conventionnelles, avec l’intention de ne pas favoriser le contournement de la convention par la loi (cf. Loi Valletoux et PLFSS).

Le mouvement des médecins libéraux se poursuit jusqu’à nouvel ordre

Prévenez ARS et Ordre pour la grève de la PDSA et de la PDSES.

Les médecins ne sont pas responsables de la dégradation du système de santé.

Retourner en haut