Auditionné par la mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la Sécurité sociale de l’Assemblée nationale, le directeur général de l’ARS Nouvelle-Aquitaine, a défendu les ARS, tout en reconnaissant les imperfections du système. À la critique souvent faite de bureaucratie, le DG la justifie en expliquant qu’elle permet de garantir l’équité. Par ailleurs, a-t-il dit, « nous avons en tant qu’ARS très peu de moyens pour répondre à des problématiques de mise en place d’une offre de médecine générale de premier recours », « un des rares et seuls domaines où il n’existe pas de service public », et reposant « sur une offre libérale ».