Interrogé sur la demande du SML pour qu’une mission parallèle soit menée pour établir un diagnostic de la situation en ville, l’urgentiste a tenu à rassurer sur ce point. « Ma mission est suffisamment large pour les écouter (NDLR : Les médecins libéraux). Je considère que l’hôpital ne peut pas fonctionner comme la ville, mais je rencontrerai les présidents des syndicats libéraux pour parler de cette mission. Ils ne seront pas oubliés, c’est mal me connaître. »