Elles font valoir que deux tiers des appels aux centres 15 aboutissent à des demandes de conseils et de rendez-vous qui relèvent de la médecine de ville. Pour ne pas engorger le 15, les signataires appellent à l’extension du numéro dédié aux soins ambulatoires, le 116-117, et demandent des moyens pour améliorer le Service d’accès aux soins, tels des « outils informatiques pour réguler les appels, des agendas Internet partageables avec le secrétariat du service, et la rémunération des créneaux mis à disposition de la population ».