Ainsi, alors qu’il ne lui manquait que 70 voix pour être reconnu représentatif des médecins généralistes, le SML a-t-il été évincé de cette représentativité. Le syndicat, qui existe depuis 40 ans, satisfait cependant à tous les autres critères légaux que le Gouvernement aurait dû retenir (les effectifs, l'indépendance, les cotisations, l'expérience, l'audience électorale et l'ancienneté du syndicat). Face à cette situation inique, le SML a décidé d’attaquer en justice l’arrêté de représentativité. Et, pour marquer sa désapprobation, il suspend sa participation aux instances conventionnelles paritaires locales.