En partenariat avec les centres hospitaliers, cette expérimentation prévoit un accompagnement éducatif du patient par le pharmacien et l’infirmier de coordination sur les effets indésirables du traitement. Les pharmaciens auront par la suite la charge de surveiller les effets indésirables, l’observance et les interactions médicamenteuses en lien avec l’hôpital pendant 3 mois. Puis un suivi mensuel est prévu à l’officine les 6 mois suivants, cette fois en lien avec le médecin traitant. Le SML dénonce cette expérimentation dans laquelle le médecin traitant est satellisé et rappelle que, contrairement aux pharmaciens, les médecins généralistes sont formés en cancérologie pour le suivi des patients.