Il avait reçu une demande d’authentification de son e-CPS et lui a donné accès involontairement. Une centaine de personnes ont pu ainsi usurper son identité numérique pour obtenir un Pass sanitaire via un QR code frauduleux. La CNAM rappelle que les utilisateurs de ces fausses attestations risquent jusqu’à trois ans de prison, et le faussaire à l’origine du piratage cinq ans de prison, ainsi que des amendes élevées. Le SML appelle les médecins à être vigilants, mais il demande que l’e-CPS soit assortie d’un code secret pour valider l’acte comme pour les cartes bancaires.