Ces indemnités sont portées à 180 euros (au lieu de 150) pour une période d’astreinte effectuée une nuit, un dimanche ou un jour férié, 60 euros (au lieu de 50) pour une période en début de nuit (de 20 heures à minuit) et à 120 euros (au lieu de 100) pour une période en nuit profonde (de minuit à 6 heures du matin). Le directeur de l’Assurance maladie met ces « largesses » au compte de l’avenant no 9. Pour le SML, ces revalorisations, qui interviennent au bout de 9 ans, sont insuffisantes, d’autant qu’il était prévu que ces astreintes soient revalorisées chaque année.