Il devrait s’effectuer sur une base forfaitaire, modulable en fonction des caractéristiques de la prise en charge, dont les montants seront fixés par arrêté. Ces montants ne concerneront pas que les médecins, mais tous les professionnels de santé pouvant participer à la télésurveillance. Ces 22 millions s’ajoutent aux 650 millions consacrés à la stratégie d’accélération en santé numérique qui sera dévoilée lundi 18 octobre. Mais il semble qu’ils arroseront plutôt l’hôpital, à qui l’on réserve en priorité la télésurveillance.