Il ne s’agit pas de l’étendre, s’est justifié le ministre de la Santé, mais « de donner la possibilité de le déclencher et de le maintenir si la situation sanitaire l’exige ». Quatre critères ont été fixés, quoique non chiffrés : les taux d’incidence, de vaccination, de positivité des tests de dépistage ou de saturation des lits de réanimation.