À condition qu’elle soit incluse dans le parcours de soins comme « relais de parcours de proximité ». Ce qui signifie que la télé-médecine doit être strictement limitée géographiquement, « portée par les médecins locaux » dans le cadre d’un projet de « territoire et de coordination médicale territoriale », et qu’elle nécessite « la présence d’un accompagnant professionnel de santé à côté du patient ».
Par ailleurs, l’AMRF souhaite « développer et amplifier l’exercice des auxiliaires médicaux et des infirmiers de pratiques avancées », là encore « en interface avec le médecin ». Le SML travaille aves les maires ruraux et la pédagogie que mène le syndicat finit par payer. Pour la première fois ces élus de proximité pourtant soumis à une forte pression de leurs électeurs qui peinent à se faire soigner ou à trouver un médecin traitant, ne prônent pas la coercition.