Ce mot d’ordre ne fait pas l’unanimité. La Fédération des associations nationales des médecins coordonnateurs et du secteur médico-social (Mcoof) estime que l’on ne peut « prendre en otage la vie des résidents en retardant toute vaccination ». Pour sa part, s’il comprend et partage la revendication, le SML estime qu’un tel mot d’ordre est mal venu au moment où le pays est de nouveau confronté à un pic épidémique. Imposer aux personnels de ces établissements qui sont parmi les plus exposés, de devoir se démener pour se faire vacciner n’est peut-être pas la meilleure voie d’action.