La télémédecine pourrait « remplacer jusqu’à 50 % de leurs interactions traditionnelles avec le monde médical », écrivent les auteurs de l’étude. Elle pourrait notamment être pratiquée pour un renouvellement d’ordonnance ou un commentaire de résultats d’examen. En revanche, ce pourcentage tombe à 22 % devant un symptôme atypique pour lequel les malades jugent plus « rassurant de discuter avec leur médecin ».
* D’après un questionnaire réalisé en ligne auprès de 1 529 patients atteints de pathologies chroniques.