L’OMS reconnaît que ce variant pouvait affecter les personnes déjà infectées ou vaccinées. Le nombre des transmissions explose et, par effet volume, débouche sur une augmentation des hospitalisations. Mais, commente le directeur de l’OMS Europe, « il y a une fraction plus élevée de cas asymptomatiques, il y a une fraction plus faible de personnes ayant besoin d’être hospitalisées, et les taux de mortalité dans les hôpitaux sont plus faibles ». Pour autant, il est trop tôt, estime l’organisation, pour qualifier le virus d’endémique.