Or les données sur les effets indésirables de la vaccination dans cette classe d’âge montrent que ceux-ci sont « extrêmement faibles ».
La balance bénéfice-risque reste donc favorable à la vaccination. Pour l’accélérer dans cette classe d’âge, le gouvernement a décidé de modifier les règles d’autorisation parentale. Désormais l’autorisation d’un seul parent est nécessaire.
Enfin, le Pr Fischer, au cours de la même conférence de presse, rappelle que sur les 1 090 enfants et adolescents de moins de 19 ans hospitalisés en France, la moitié sont des nourrissons dont la mère n’était pas vaccinée.