La loi vise à leur permettre de « préparer leur avenir, d’envisager plus sereinement leur autonomie et de lutter contre les inégalités de destin ». Elle prévoit qu’un contrat d’engagement jeune leur soit systématiquement proposé à leur majorité. Un « droit au retour » à l’ASE est prévu jusqu’à 21 ans. Les sortants de l’ASE seront prioritaires pour un logement social. Les contrôles auprès des adultes au contact des enfants seront renforcés, et les établissements devront mettre en place une politique de prévention et de lutte contre la maltraitance. Enfin, les fratries seront prises en charge dans un même lieu.