Cet arrêté précise que les praticiens concernés bénéficient d’un programme assez dense, d’une durée minimale et non maximale de 10 heures. Il n’y a donc pas de limitation de formation par rapport à la situation antérieure. Cette formation initiale s’impute sur l’enveloppe unique dédiée au financement de l’obligation de développement professionnel continue (DPC) ; son budget est notoirement insuffisant. Pour les signataires du communiqué que le SML a signé, il ne saurait être question de grever de façon significative les sommes dévolues au DPC pour financer sans limite la formation continue des maîtres de stage agréés. Cette formation relève davantage d’un complément de formation universitaire, comme l’encadrement d’une thèse, que du DPC à proprement parler.