Concrètement, il conduit à l’utilisation de mots de passe suffisamment forts, de seconds facteurs d’authentification avec des codes à usage unique, etc.), et à vérifier l’identification des utilisateurs à l’aide des répertoires de référence (identifiant national de santé, répertoire partagé des professions de santé, Finess). Ce référentiel comporte trois volets correspondant à trois catégories d’utilisateurs : les professionnels de santé, les structures, les usagers du système de santé. Pour les professionnels de santé, le référentiel, qui compte 32 exigences, impose dès janvier 2023, pour certains services sensibles, l’implémentation de Pro santé connect. Les services sensibles sont ceux traitant de données de santé à caractère personnel et intégrant des services partagés ou ceux proposant un accès web externe au système d’information. À suivre.