L’idée est de limiter le recours aux Urgences pour des besoins d’examens de biologie de routine et de favoriser l’accès à des examens de biologie dans le cadre d’explorations non programmées. Le texte précisera les professionnels de santé et les lieux d’exercice habilités à faire les prélèvements et ceux habilités à réaliser la phase analytique. Ils devront avoir passé une convention avec un laboratoire de biologie médicale.