Il renforce le dispositif d’accompagnement à la création des CPTS et augmente les aides financières, lesquelles peuvent aller jusqu’à 580 000 euros au lieu de 450 000 jusqu’à présent. Il crée une nouvelle mission dédiée aux crises sanitaires, à la gestion desquelles les CPTS sont appelées à collaborer.
Par ailleurs, l’avenant précise la collaboration entre les CPTS et le service d’accès aux soins. Enfin, il propose de mener des expérimentations de coopération et de coordination entre professionnels de santé. Cette ouverture sur les autres formes de coordination, plus simples et plus souples était une condition posée à la signature du SML. Le syndicat soutient en effet les ESCAP (équipes de soins cordonnées avec le patient) dont les modalités de déploiement sont actuellement discutées avec la CNAM.