L’autorisation provisoire de séjour permet « l’accès à la protection universelle maladie (Puma) et à la complémentaire santé solidaire », précise la DSS. Dans l’attente de ce titre, « la prise en charge de leurs soins hospitaliers est autorisée au titre des soins urgents et de façon dérogatoire jusqu’au 31 mai… pour l’ensemble des soins hospitaliers, y compris pour les situations où le pronostic vital n’est pas en jeu ». Passée cette date, les personnes concernées « ne disposant pas encore de titre de séjour depuis plus de trois mois et ayant de faibles ressources peuvent être éligibles à l’aide médicale d’état ».