En effet, les pistes évaluées pour l’instant par la mission flash et soumises par la conférence des URPS pour le secteur libéral reprennent plusieurs de nos propositions mises sur la table depuis 2017. Qu’il s’agisse de l’encouragement de la régulation de l’entrée des urgences par les libéraux dans le cadre du SAS, de l’assouplissement des structures de coordination avec des conditions d’accès moins contraignantes, de la revalorisation des actes techniques ou d’accélérer la prévention à tous les âges, les propositions portées par le SML inspirent et enrichissent le débat.
Et nous sommes fiers au SML de porter le projet d’une médecine libérale d’avenir que partagent un nombre croissant d’acteurs. Mais cela ne nous suffit, pas. Il faut que le gouvernement, lorsqu’il sera sorti du bourbier politique dans lequel il est enlisé faute de majorité, passe à l’action !