À sa troisième tentative, le président de la FHF, Frédéric Valletoux, a finalement été élu député de la Seine-et-Marne lors des dernières élections législatives.
Afin de faire face à la pénurie de personnels médicaux et non médicaux cet été et au moment où l’épidémie de Covid-19 est en recrudescence, le gouvernement vient de prendre par arrêté une série de mesures dérogatoires des Codes de la sécurité sociale et de la santé publique. Celles-ci sont valables jusqu’au 30 septembre 2022. Beaucoup d’entre elles reprennent les recommandations de la mission « flash » sur les Urgences et soins non programmés et vont dans le bon sens. D’autres, en revanche, appellent de la part du SML de sérieuses réserves.
Comme chaque année, l’Assurance maladie a dévoilé son rapport « charges et produits » censé éclairer la préparation de la loi de financement de la Sécurité sociale pour l’an prochain et guider les économies sur les dépenses de santé.
« L’un des enseignements majeurs de la crise est que la santé publique et la prévention doivent désormais occuper une place de premier plan dans les politiques de santé, mais aussi dans les actions de l’Assurance maladie. »
Lors de son discours de politique générale, la Première ministre, Élisabeth Borne, a consacré une dizaine de minutes à la santé, insistant sur la prévention, évoquant l’offre de soins dans les territoires et l’égalité des chances.
Il reviendra à l’ancien président de l’association Samu-Urgences de France, François Braun, de mettre en musique les orientations gouvernementales en matière de santé.