Les articles du SML

Dans une interview donnée à la Voix du Nord, le président de la République reconnaît que le problème de la désertification médicale est « un sujet national ».

Ni confinement, ni couvre-feu, ni fermeture de commerces, le plan d’actions du gouvernement pour lutter contre la cinquième vague d’épidémie de Covid-19 mise plutôt sur la responsabilité individuelle.

La Haute Autorité de Santé (HAS) rendait deux avis concernant la troisième dose de vaccin contre le covid 19. Dans l’un, elle préconise son extension à « l’ensemble des personnes âgées de 40 ans et plus ».

La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié trois nouvelles fiches pour guider la prise en charge des symptômes prolongés du Covid : sur les symptômes digestifs, les troubles oculaires, les lésions cutanées.

Les remèdes proposés par les élus, députés, sénateurs ou maires, sont loin d’entraîner la concorde. Ainsi, la proposition de loi portée par le député communiste de la Seine Maritime, Sébastien Jumel, a-t-elle suscité de vifs débats lors de son examen en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale.

Revenant sur les amendements des sénateurs, les députés ont réintroduit l’accès direct à certaines professions de santé lors de leur deuxième lecture du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2022.

La CNAM a envoyé aux syndicats des professionnels de santé libéraux son projet d’avenant N°2 à l’accord conventionnel interprofessionnel sur les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS).

Le premier consiste à apporter quelques « correctifs » au système existant, comme la possibilité de réduire la diversité des taux de remboursement ou la forfaitisation de la participation financière des assurés à la prise en charge hospitalière.

Au moment où le PLFSS s’ingénie à multiplier les transferts de compétences, onze syndicats de professionnels libéraux regroupés dans Les Libéraux de santé (LDS) appellent le gouvernement à les soutenir pour qu’ils puissent développer une « coordination souple et efficace entre la ville, l’hôpital, et le secteur médico-social ».

Interrogé sur les transferts de compétences par la revue « Le Généraliste », le rapporteur du PLFSS 2022, Thomas Mesnier, par ailleurs médecin urgentiste, en défend le principe pour, dit-il, « désengorger la liste d’attente des médecins généralistes et améliorer les soins au quotidien ».

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