Les articles du SML

Le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2022 a été adopté, mardi 26 octobre, en première lecture à l’Assemblée nationale.

Deux amendements au PLFSS prévoient d’adapter certaines modalités de la réforme des Urgences issues de la LFSS 2020.

Un amendement visant à établir de nouvelles règles pour les centres de santé dentaires ou ophtalmos dits low cost a été ajouté au PLFSS.

À l’initiative du Gouvernement, les députés ont approuvé un amendement instaurant un cadre de financement transitoire pour les expérimentations de type « article 51 » avant leur généralisation.

Le PLFSS 2022 marque également la volonté de transformer les Ehpad et de les ouvrir vers l’extérieur, à raison d’au moins un établissement par département, dès 2022.

Entre les mois de janvier 2020 et mai 2021, entre 80 000 et 180 000 professionnels de la santé sont morts de la Covid-19, rapporte l’Organisation mondiale de la santé (OMS). .

Le ministère de la Santé entend booster la vaccination à domicile des seniors. En effet, seuls 87 % des plus de 80 ans ont reçu une première dose de vaccin.

Alors que l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de confirmer un risque de myocardite trois fois plus élevé avec le vaccin anti-Covid-19 Spikevax (Moderna) qu'avec Comirnaty (Pfizer/BioNTech), l’Agence européenne du médicament (EMA) vient d’autoriser le rappel avec le vaccin anti-Covid-19 de Moderna pour les personnes de 18 ans et plus, avec une dose moitié moindre que celle utilisée pour la primovaccination.

Au mois de décembre, les chefs d’entreprise devront verser aux salariés touchant moins de 2 000 euros nets mensuels (avant prélèvement à la source), une « indemnité inflation » de 100 euros.

Alors qu’ils pensaient pouvoir bénéficier du financement d’actions de Développement professionnel continu (DPC), des médecins remplaçants, mais aussi des kinésithérapeutes et des infirmiers, se sont vus refuser par l’Agence nationale du DPC (ANDPC) la prise en charge de leurs actions de formation, au prétexte qu’ils sont non conventionnés et ne possèdent pas d’adresse professionnelle. Une exclusion injuste, dénoncée par les remplaçants et par le Collège de la médecine générale (CMG).

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