Alors qu’ils pensaient pouvoir bénéficier du financement d’actions de Développement professionnel continu (DPC), des médecins remplaçants, mais aussi des kinésithérapeutes et des infirmiers, se sont vus refuser par l’Agence nationale du DPC (ANDPC) la prise en charge de leurs actions de formation, au prétexte qu’ils sont non conventionnés et ne possèdent pas d’adresse professionnelle. Une exclusion injuste, dénoncée par les remplaçants et par le Collège de la médecine générale (CMG).