Les articles du SML

La Première ministre a dégainé lundi soir l’article 49.3 sur la partie Recettes du budget de la Sécu.

Voilà des années que se multiplient les pénuries de médicaments. Mais personne n’agit pour permettre à notre pays de retrouver sa souveraineté en matière de production de médicaments.

La généralisation du service d’accès au soin (SAS) a créé un appel d’air en matière de recrutement des assistants de régulation médicale (ARM).

La Cnam a annoncé la généralisation prochaine de l’ordonnance numérique.

Pour gagner la bataille de la consultation à 50 euros, nous n’avons pas d’autre choix que de nous mobiliser collectivement.

Raison n°1 : Parce que l’inflation l’impose | Avec une progression de 6,2 % cette année et au moins de 4 % en 2023, l’inflation conduit à une érosion mécanique de la valeur de nos honoraires, déjà au-dessous de la valeur européenne. Nous avons augmenté nos collaborateurs pour pouvoir les garder. Nous payons des frais fixes de plus en plus lourds, à commencer par l’électricité.

Les SML a apporté son soutien, le 17 novembre, aux jeunes et aux étudiants en médecine dans leur combat contre la coercition à l’installation et une quatrième année d’internat médecine générale mal construite.

Les sénateurs ont copieusement retouché le projet de budget de la Sécu pour 2023.

La Cnil a appelé le Gouvernement à mettre en œuvre un cadre juridique pour la collecte des données de santé par les complémentaires.

En plein débat sur la fin de vie, le Conseil Constitutionnel a rendu une décision qui entérine la possibilité pour un médecin de ne pas exécuter les directives anticipées d’un patient s’il estime qu’elles sont « manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale ».

Retourner en haut