Les Newsletters du SML

L’un des enjeux de ces élections est de donner à la médecine libérale la possibilité d’influer sur la politique territoriale et de faire du médecin le leader de son territoire. Pour cela, le SML, le seul syndicat 100 % libéral fait des propositions concrètes et libérales.

La crise sanitaire a mis en lumière les failles de l’hôpital et a montré l’importance de la médecine de ville pour faire face à l’urgence de la situation.

Près de 29 000 médecins libéraux, dont 90 % de généralistes, s’étaient portés volontaires cette semaine pour vacciner leurs patients fragiles à leur cabinet. Chacun d’entre eux devait récupérer un flacon de dix doses du vaccin d’AstraZeneca auprès de l’officine où il s’est inscrit au préalable. Pour certains, il sera même possible de se procurer un flacon supplémentaire « s’ils se sentent en capacité de vacciner plus », précisait le ministère.

Dans un DGS-Urgent, la DGS demandait aux agences régionales de santé (ARS) et aux établissements de santé de se préparer à une éventuelle troisième vague d’hospitalisations pour Covid-19.

Exposant son programme pour les prochaines élections aux URPS-ML, le président du SML a d’emblée situé les enjeux mardi au cours d’une conférence de presse.

« D’ici la fin de l’été, nous aurons proposé à tous les Français adultes qui le souhaitent un vaccin », a promis le président de la République sur le plateau de TF1 mardi dernier.

Prenant la parole à l’issue du Conseil des ministres et du Conseil de défense, le porte-parole du Gouvernement déclarait que différents scénarios étaient envisagés pour faire face à la progression du virus. En effet, le couvre-feu à partir de 18 heures ne freinerait pas « suffisamment » cette propagation.

Commencée début décembre, la campagne de déclaration en ligne sur amelipro des indicateurs ROSP et Forfait structure pour l’année 2020 est prolongée jusqu’au 7 février.

À compter de ce samedi, le couvre-feu avancé à 18 h 00, appliqué sur une dizaine de départements, est étendu à tout le territoire national métropolitain, a annoncé le Premier ministre Jean Castex, jeudi.

Avant même la conférence de presse du Premier ministre, la stratégie du Gouvernement en matière de vaccination anti-Covid avait changé sous pression de critiques venues de toutes parts. Ce jeudi 7 janvier, la vaccination aux personnes les plus fragiles, et notamment les résidents des Ehpad, a été confirmée, et le calendrier accéléré. «Notre objectif est clair : vacciner en priorité les 15 millions de personnes âgées et souffrant de pathologies chroniques. Car ces vaccins permettent de prévenir les formes graves de la maladie», a indiqué Jean CASTEX.

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